Dès le début de la pandémie, l’équipe du Département de pharmacie a décidé de faire participer au maximum les étudiants, les stagiaires et les résidents à la nouvelle charge de travail qui se pointait. Pour Jean-Philippe Adam, coordonnateur à l’enseignement par intérim, c’était l’occasion de comprendre que dans chaque crise se trouve une opportunité d’être utile et de contribuer au bien-être des patients. De son côté, Marie-Claude Langevin, chef adjointe aux soins pharmaceutiques par intérim, explique notamment qu’il était essentiel de maintenir les stages en cours afin de permettre aux étudiantes et aux étudiants de mieux comprendre la réalité des pharmaciennes et pharmaciens d’hôpital, bien distincte de celle de l’extérieur.